La fin de l'épidémie va s'opérer...

Morts.

Le nombre de morts sur le sol de la Terre sont nombreux. Chaque jour, des dizaines d'hommes, démons, anges et autres races peuplant cette planète tombent sous les coups de leurs adversaires, mais aussi sous ceux de traîtres et autres charognes assoifées de pouvoir. L'âme des uns se réincarnent tout de suite et permettent à leur bénéficiaires de combattre, encore et encore...Mais tous n'ont pas cette chance. Ceux qui trépassent dans les pires souffrances qui soient, qui sont torturés, saignés à blanc par les entités présentes, eux, n'ont pas la chance de connaître un passage dans les limbes des plus rapides. En particulier celui des démons. Ces êtres servant les Enfers et qui usent des pires supterfuges pour vaincre l'ennemi angélique connaissent eux-mêmes d'attroces souffrances durant leur passage dans ce monde parallèle. Ce pourrait-il que ce soit la raison de leur force et leur méchanceté ? Peut-être, mais ceci étant, le seuil de morts démoniaque avait aujourd'hui atteint un taux anormalement élevé.

Ces morts, cette présence d'une réunion de force incommensurable dans les limbes avait retentit fortement dans les esprits de tous. Si fort que les laves infernales se mirent à jaillir comme jamais dans les volcans de l'Enfer. Ce rassemblement soudain parvint à une entité maléfique jusqu'alors endormi...Cet entité avait un nom : Frenrir, le Gardien des Flammes Infernales. Durant des millénaires, il avait combattu corps et âme pour la défense des Enfers, leur protection totale. Mais sa lutte contre un adversaire d'égale puissance les avaient fait sombrés tout deux dans un sommeil éternel, ou du moins censé resté étenel. En effet, toutes ces âmes à la recherche de corps éteints, leur nombre surtout avait réveillé cette créature maléfique. Son devoir était de défendre les Enfers, quel qu'en soit le prix, et le moment était venu pour lui de continuer son destin.

L'élimination de toutes trace non-démoniaque devait donc s'opérer, de nouveau...Que ce soit les traitres, les humains, vampires, toutes créatures mais surtout les anges que se terrent actuellement en Enfer devaient désormais compter un de leur plus grand adversaire. La peur de ce lieu devait être restaurée, le sang versé, la mort parsemée. Ce plan de notre monde allait connaître une nouvelle ère, une purification entendront certains, grand bien leur fasse. Frenrir est réveillé, les Enfers pouvaient compter un nouveau protecteur.

Depuis sa renaissance dans ce monde, Frenrir avait récupéré certains repères. La puissance qu'il dégageait, la maitrise de sa force face aux démons et...les têtes des intrus qui volaient face à lui. En quelques temps, les nombreuses factions infernales actuellement en place prirent contact avec les Gardien des Flammes Infernales, se doutant de sa force surnaturelle. Malgré tout, il les refusa toutes, pas assez sérieuse. Il tuait, chassait, parcequ'il devait le faire, parceque c'était son devoir, devenir membre d'une faction pour être sous les ordres de démons n'était pas intéressant.

Humains et anges avaient envahi le territoire démoniaque, son territoire. La pollution était un problème qu'il connaissait bien. Dans les temps anciens, c'est à une armée de vampire qu'il devait faire face. Les combats furent durs, sans répit, car les suceurs de sang sont également des êtres dôtés d'un puissance rare, mais après plus d'un mois de combats acharnés, violents, sanglants, les flammes avaient eut raison des vampires. Cela lui valu le surnom de "Nettoyeur".Et aujourd'hui, l'histoire va se répéter. Non pas avec des adversaires de même valeur mais avec des humains, humains qui avaient fait l'erreur de le prendre en traitre. Ils avaient réveillé sa colère, leur sang allait couler, sous peu.

Le Gardien ne tarda pas à accomplir ses dires. A peine le groupe d'humains errant en Enfer l'eurent-il frappé, que de rage, il trancha la tête de l'un deux et en affaiblit gravement un autre, ce même autre qui fuya peu de temps après. Mais on allait pas loin en Enfer lorsqu'on portait un casque à corne, cela sonne faux, cela ne fesait pas naturel. C'est pourquoi ce vert succomba un peu plus tard...accompagné d'un de ses congénères.

Frenrir devait faire vite, il savait qu'un danger d'une force bien plus grande que la sienne venait de se réveiller en surface. L'éradication de ceux qui ne devaient pas se trouver en Enfer devait donc s'accélérer.